Les élèves n’évoluent pas de la même façon en classe. Si certains réussissent aisément leur apprentissage, d’autres, en revanche, éprouvent des difficultés qui les bloquent. Quels sont les différents types de difficultés que les enfants du primaire pourraient rencontrer ?
Les difficultés d’apprentissage
La difficulté d’apprentissage d’un élève peut être due à un QI ou quotient intellectuel inférieur à la moyenne, en d’autres termes, une déficience mentale. Un test QI permet de percevoir les enfants qui sont aptes à suivre une scolarité normale et ceux qui risquent ne pas y parvenir. Selon l’OMS, un QI compris entre 70 et 85 est la déficience mentale limite. Entre 55 et 70, l’enfant souffre d’une déficience mentale légère. Il s’agit d’une déficience mentale modérée pour un QI compris entre 40 et 55. Une déficience mentale sévère se traduit par un QI compris entre 25 et 40. Et, l’enfant est atteint d’une déficience mentale profonde si sont QI est égal ou au-dessous de 25.
Les troubles DYS
Ces troubles regroupent les troubles cognitifs chez les enfants, induisant des troubles d’apprentissage. Ils apparaissent au cours du développement de l’enfant et peuvent constituer de véritable blocage sur sa vie scolaire. Ils persistent à l’âge adulte. De ce fait, ils peuvent avoir des répercussions sur la vie sociale et professionnelle de la personne qui en souffre.
Ces troubles sont de différents types. Il peut s’agir de dysorthographie ou dyslexie : un trouble relatif à l’acquisition du langage écrit. L’enfant peut être lent en écriture, ou encore ses écrits sont illisibles. Si c’est le cas, les parents peuvent se rapprocher d’un cabinet de rééducation de l’écriture à Rennes ou dans la ville où ils habitent. Un cabinet de rééducation de l’écriture va aider l’enfant à améliorer son écriture, à acquérir de la vitesse, à adopter les bons gestes, etc.
Il peut également s’agir de dysphasie, un trouble du développement du langage oral de l’enfant. Mais ces troubles peuvent aussi concerner le développement moteur de l’enfant (dyspraxie), des troubles d’attention, ou encore des troubles relatifs aux activités numériques ou dyscalculie.